Hymne à la joie


ZEM244

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Cartoon translated to english by Jean-Claude Maitre cómic traducido al español por Roberto Poveda Comics traduzidos em português por Conceição
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Spéciale dédicace à Marie-Hélène & Lise

 » [Après] toute ma recherche sur la « puissance du sourire », puissance physique et spirituelle, aujourd’hui, je pratique le sourire comme une prière … laïque, capable d’être partagée avec tous. »
Marie-Hélène Pourrut.

Zem est publié toutes les semaines sur le portail international du bouddhisme : Buddhachannel

CC

Tous les dessins de ce site “Zem apprenti maître Zen” sont mis à disposition par leur créateur Frédéric Baylot selon les termes de la licence Creative Commons : Paternité – Pas d’Utilisation Commerciale – Pas de Modification 2.0 France. Pour toute publication sur un site ou blog Web, ou pour obtenir des autorisations au-delà du champ de cette licence merci de me contacter.

LIEN COURT

8 réflexions sur “Hymne à la joie

    1. Sûrement
      faisons trois exercices pour le tester
      1er : sourions et voyons ce que nous ressentons dans notre corps
      2ème : travaillons comme d’habitude et voyons ce que nous ressentons dans notre corps
      3ème : travaillons et sourions en même temps et voyons ce que nous ressentons dans notre corps
      :mrgreen:

      chaleureusemnet

      1. Je suis tout à fait convaincu du résultat. Je le pratique moi-même. Il y a peut-être une sorte de réciprocité fonctionnelle entre le bonheur et le sourire dans un sens et le sourire et le bonheur dans l’autre. Je ne sais pas. Je ne suis pas expert (mais qui peut bien l’être), mais ça marche ! 🙂

        1. Oui comme tu dis cela fonctionne :mrgreen:
          Maintenant on peut faire des hypothèses mais en effet il ne s’agit pas tant de théoriser que de voir ce qui fonctionne pour le bien du plus grand nombre et de le mettre en action

          chaleureusement

  1. Je préfèrerais faire sourire les autres – peu importe ce que je ressens. Quand mes enfants vivaient un de ces « drames » enfantins qui nous font sourire, je ne souriais pas, j’accordais autant de sérieux qu’eux à leur drame et je les amenais, peu à peu, à rire aux éclats. Là, je pouvais sourire. Bon, les enfants, c’est spécial, faut dire. Et puis on est aux premières loges…:-)

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