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Cartoon translated to english by Jean-Claude Maitre | cómic traducido al español por Roberto Poveda | Comics traduzidos em português por Conceição |
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« Réserve une demi-heure chaque jour à la prière, sauf lorsque tu as beaucoup à faire. Dans ce cas prends une heure. » François de Sales.
Zem est publié toutes les semaines sur le portail international du bouddhisme : Buddhachannel
Tous les dessins de ce site “Zem apprenti maître Zen” sont mis à disposition par leur créateur Frédéric Baylot selon les termes de la licence Creative Commons : Paternité – Pas d’Utilisation Commerciale – Pas de Modification 2.0 France. Pour toute publication sur un site ou blog Web, ou pour obtenir des autorisations au-delà du champ de cette licence merci de me contacter.
LIEN COURT
C’est un étrange paradoxe…!
Mais est-ce bien raisonnable de presser un homme?
Na vaudrait-il pas mieux presser une orange ou un citron…?
Ca c’est bon !! 🙂
Et je rajouterai : Mais n’oublie pas de te lever une heure plus tôt.
Pensées cordiales
Françoise
🙂
Se lever une heure plus tôt et se presser une orange pour mieux se réveiller…! :o)
Mais non, ce n’est pas nécessaire.
Si j’estime de manière correcte cette invitation de Maître Tsé, Ce qui est requis, c’est de ralentir le rythme de vie occupée afin de trouver un temps de retour à Soi désoccupé. 🙂
Si on ralentit son rythme de vie, n’a-t-on pas encore moins de temps pour faire ce que l’on a à faire…?
Qui se raconte qu’il ou elle a à faire ?
Se donner du temps à soi, c’est en gagner car alors la « préoccupationnite », maladie très répandue se guérit. 😉 😉
Faut voir…!! :o)
Il me semble que c’est tout vu !! 🙂
Ceci dit je ne suis pas à classer parmi les « absolutistes » qui ont trouvé « la » vérité. ❤
Oui. mdr !!
j’en reviens à ce que tu disais sur Madame de Sévigné. C’est tout a fait vrai qu’il est beaucoup plus difficile de faire court que long. C’est pour cela que la « contraction de texte » est au programme du concours de certaines grandes écoles. Amitiés.
Oui, si les hommes politiques pouvaient réduire leurs discours à deux mots, de serait bien plus compréhensible et ça nous laisserait plein de temps pour nous, pour méditer et nous faire du bien…!!!
Replacer les responsabilités sur « les autres » n’est peut être pas le bon choix pour trouver du temps à consacrer à soi en pure indépendance. 😉
OK, tous les problèmes du monde sont de ma faute…!!
Que non, Laurent !
Du reste Ce n’est pas, loin s’en faut, ce que j’ai formulé.
Je suppose avec grande facilité que la question à se poser est :
– En quoi je participe (pour la modeste part dont je suis responsable) à la façon dont la vie se joue sur la scène du monde.
Ainsi que celle-ci, plus centrale : Qui intercepte et reste en arrêt sur ce qui paraît un monde à part d’un moi-je ?
De plus, cher Laurent, j’ai pris la précaution d’user d’une formule dubitative (« …n’est peut-être pas… »)
Dernière remarque : Vous n’êtes en rien coupable de quoi que ce soit. 🙂
Bon W E 😉
Moi aussi , je plaisantais… :o)
Cela dit, étant réaliste, je sais que je suis responsable de certaines choses et pas d’autres. Je crois que je participe modestement mais effectivement à une meilleure marche non pas du monde mais d’une toute petite fraction du monde. Et globalement, sans être ni modeste ni prétentieux, je crois bien faire. Mais comme tout n’est qu’illusion, va savoir…! ;o)
Judicieuse remarque, Ariaga !
Le médecin n’a pas besoin d’avoir été malade pour savoir soigner !! Et il est, en tous cas préférable qu’au moment où il soigne il ne se préoccupe que de la santé du patient (plus facile si lui-même se porte bien).
Pour les hommes politiques, je crois que l’essentiel est l’appréciation que l’on peut porter à leur attitude altruiste, solidaire et à leur intégrité et force morale.
Ils fixent le sommet à atteindre et confient aux techniciens spécialistes le tracé de la carte et le choix des équipements à utiliser, suivant l’état du chemin.
A nous de décider parmi les sommets proposés, celui qui correspond le mieux à nos valeurs car s’abstenir est encore un choix. Celui de ne pas participer à la vie sociétale.
Avoir l’audace (ou le courage) de désigner « pilote » celui que nous estimons le « meilleur » ou « le moins pire » me semble le minimum que l’on doit aux générations montantes.
Françoise
🙂 🙂
Ton terme « contre-pouvoir » génère le risque d’immobilisme. Et encore plus de contre-pouvoir des uns au bénéfice, non pas de la collectivité, mais de leurs intérêts personnels qui sont incompatibles avec les intérêts défendus par le pouvoir délégué (qui peuvent être aussi ceux de la collectivité).
A mon sens, il faut prendre le risque de donner les moyens à celui à qui on a délégué l’atteinte des objectifs. Parmi eux, le temps. Suivant le principe du moindre risque.
Quand un étudiant choisit une école pour la poursuite de ses études, c’est ce qu’il fait. Ensuite, il ne reste plus qu’à optimiser les ressources que l’on y trouve.
Si « votations » signifie « carnet de suggestions-réclamations » OK. Ce serait un bon instrument de pilotage. Mais ce ne seraient que des visions zoomées d’une partie du panorama.
Pensées cordiales
Françoise
Vu Ta conception de « contre-pouvoir » = rappel du programme ayant généré les votes recueillis, d’ACCORD ! Je craignais qu’il ne s’agisse de l’Opposition (aux objectifs du programme de la majorité = le contraire de ta définition).
Suis aussi tout à fait pour l’auto-gestion et la transformation en SCOP des Entreprises aux intentions de fermeture.
Cordialement
Françoise